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La Fortune de Jean Gabin et Vie privée

Jean Gabin, né Jean-Alexis Moncorgé le 17 mai 1904 à Paris, en France, était le fils de Madeleine Petit et de Ferdinand Moncorgé. Son père, connu sous le nom de scène Gabin, était propriétaire de café et artiste de cabaret. La famille vivait dans le village de Mériel, à environ 35 kilomètres au nord de Paris. Gabin a fréquenté le Lycée Janson de Sailly mais a quitté l’école tôt pour travailler comme ouvrier. À 19 ans, il a commencé sa carrière dans le show-business avec un petit rôle dans une production des Folies Bergère.

Carrière

Débuts

Jean Gabin était le fils de Madeleine Petit et de Ferdinand Moncorgé, propriétaire de café et artiste de cabaret qui se produisait sous le nom de scène Gabin. Il a grandi dans le village de Mériel, à environ 35 kilomètres au nord de Paris. Après avoir fréquenté le Lycée Janson de Sailly, Gabin a quitté l’école tôt et a travaillé comme ouvrier.

À 19 ans, il a commencé sa carrière dans le show-business avec un petit rôle dans une production des Folies Bergère. Il s’est produit dans divers music-halls parisiens et opérettes, imitant souvent le style de chant de Maurice Chevalier. Gabin a également fait une tournée en Amérique du Sud avec une troupe théâtrale avant de retourner en France pour travailler au Moulin Rouge. Ses performances ont commencé à être remarquées, ce qui lui a permis d’obtenir de meilleurs rôles sur scène et des parts dans deux films muets en 1928.

En 1930, Gabin a fait ses débuts au cinéma dans une production des Pathé Frères intitulée « Chacun sa chance ». Au cours des quatre années suivantes, il a joué des rôles secondaires dans plus d’une douzaine de films, y compris des œuvres dirigées par Maurice et Jacques Tourneur. Sa percée est survenue en 1934 avec sa performance dans « Maria Chapdelaine », réalisé par Julien Duvivier. Ce rôle l’a établi comme une grande star du cinéma français.

Hollywood

Jean Gabin, né à Paris en 1904, était un acteur français de premier plan célébré pour ses rôles dans des films comme « Pépé le Moko » et « La Grande Illusion ». À la fin des années 1930, il a reçu de nombreuses offres d’Hollywood mais les a initialement refusées. Cependant, Gabin a déménagé aux États-Unis après l’occupation allemande de la France en 1940. À Hollywood, il a joué dans « Moontide » (1942) et « The Impostor » (1944), mais ces films n’ont pas rencontré un grand succès. Il a également eu une relation amoureuse avec l’actrice Marlene Dietrich durant cette période.

Malgré les défis à Hollywood, la carrière de Gabin a continué à prospérer en France. Il est retourné au cinéma français dans les années 1950, en jouant dans des films comme « Touchez pas au grisbi » (1954) et « French Cancan » (1955), qui ont été bien accueillis tant par la critique que par le public. L’héritage durable de Gabin dans le cinéma est marqué par ses performances polyvalentes et ses contributions significatives au cinéma français.

Action pendant la Seconde Guerre mondiale

Gabin a rejoint les Forces françaises libres du général de Gaulle, recevant la Médaille militaire et la Croix de Guerre pour sa vaillance en Afrique du Nord. Après le Jour J, il a servi dans la 2e Division Blindée qui a libéré Paris.

Baisse de carrière

Après la Seconde Guerre mondiale, Jean Gabin a traversé une période de défis professionnels. En 1945, il devait jouer dans « Gates of the Night » aux côtés de Marlene Dietrich. Cependant, Dietrich s’est retirée du projet, ce qui a conduit Gabin à faire de même, causant une rupture avec le réalisateur Marcel Carné. Par la suite, leur film « Martin Roumagnac » n’a pas bien performé au box-office, et leur relation a pris fin.

En 1948, Gabin est apparu dans « The Walls of Malapaga », qui a remporté un Oscar du meilleur film en langue étrangère mais n’a pas apporté une reconnaissance significative à Gabin. Il s’est également aventuré dans le théâtre avec « La Soif » en 1949, recevant des éloges critiques, mais ses films suivants ont eu du mal commercialement. Cette période d’échecs répétés a duré environ cinq ans.

Retour en force

La carrière de Gabin a revigoré avec le succès de « Touchez pas au Grisbi » en 1954, réalisé par Jacques Becker, qui a été rentable à l’international. Il s’est retrouvé avec Renoir pour « French Cancan », co-avec María Félix et Françoise Arnoul. Gabin a incarné le détective Jules Maigret de Georges Simenon dans les films de 1958, 1959 et 1963. Au cours des deux décennies suivantes, il a joué dans près de 50 films qui ont rencontré un succès commercial et critique, y compris plusieurs pour Gafer Films, sa société de production avec Fernandel. Ses partenaires notables comprenaient Brigitte Bardot, Alain Delon, Jean-Paul Belmondo et Louis de Funès.

Vie privée

Jean Gabin a été marié trois fois. Son premier mariage était avec Gaby Basset de 1925 à 1931, et ils ont eu un fils nommé Mathias Moncorgé. En 1933, il a épousé Jeanne Mauchain, et ils sont restés ensemble jusqu’en 1943, ayant deux filles, Valérie Moncorgé et Florence Gabin. Plus tard, en 1949, il a épousé Dominique Fournier, et ils sont restés mariés jusqu’à son décès en 1976. Jean Gabin a eu un total de trois enfants de ses mariages.

Décès

Jean Gabin, un acteur français renommé, est décédé le 15 novembre 1976, à l’âge de 72 ans. Il est mort d’une leucémie à l’hôpital américain de Paris à Neuilly-sur-Seine, une banlieue de Paris.

Héritage

Jean Gabin, figure légendaire du cinéma français, a été nommé Officier de la Légion d’honneur. En 1981, le Prix Jean Gabin a été créé par Louis de Funès pour honorer les acteurs français émergents, et il a été attribué annuellement jusqu’en 2006. Le Musée Jean Gabin, situé à Mériel, où Gabin a grandi, expose ses souvenirs cinématographiques.

La Place Jean Gabin a été inaugurée par le maire Daniel Vaillant et les enfants de Gabin dans le 18e arrondissement de Paris le 16 mai 2008. Le Cinéma Jean Gabin à Montgenèvre, connu comme la plus ancienne station de ski de France et lieu de prédilection de Gabin, porte son nom. En Orne, il a acheté des terres, influençant des noms locaux comme une rue et l’Hippodrome Jean Gabin à Moulins-la-Marche.

Fortune de Jean Gabin

Jean Gabin avait une valeur nette de 10 millions de dollars au moment de son décès le 15 novembre 1976. Gabin a gagné un revenu significatif tout au long de sa carrière grâce à son travail dans de nombreux films. Après son décès, son héritage, y compris toute propriété et actifs financiers, a été hérité par ses membres de famille.

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